La conscience, dans le voyage intérieur, est un état
d’esprit et un travail sur soi, un grand souffle
jongleur…. de libertés.
Ainsi :
La connaissance de ma plage est un espoir, portail du vent,
cerf-volant
Mes sens et mes non-sens voilés ont un prix d’éventail,
lents battements tranquilles
La confiance en un coquillage est une aspirine sur mon strabisme
montant
Etre circoncis de cœur, voyez, j’exprime ma nudité
et cela tiraille mon esprit descendant
Mes condoléances au paysage sont des opprimées traversées
par le froid comme avant la neige
Mon bagage est expatrié d’un pauvre Trafalgar comme
glissant d’un toboggan
La souffrance est un esclavage dans ma patrie qui tiraille
mon ventre vulnérable.
Dans cet espace,
Tous les mots suffisent
Poésie sublimée par une chimie verbale,
Irrémédiable.
Michèle –atelier slam-octobre 2012
bravo
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